Se sentir bien...

Se sentir bien, et rester positif…

Facile à dire, mais ô combien difficile à rendre possible lorsque le cœur, l’esprit ou le corps sont en souffrance…

Ce mois de juillet 2025 m’a poussée dans mes retranchements.

J’ai déjà éprouvé nombre de douleurs physiques, émotionnelles, psychologiques, voire spirituelles, mais jamais il ne m’était arrivé de craquer ni de pleurer de douleur comme cela vient d’être le cas, en ce mois de juillet.

Mes lombaires m’avaient déjà alertée par le passé du trop-plein que je portais depuis fort longtemps, mais une sciatique - prenant racine dans ces mêmes lombaires - ne m’a plus laissé le luxe de croire que j’allais pouvoir m’en sortir en un rien de temps, à grand renfort de pommades et de médicaments.

Cette sciatique m’a mise devant l’urgence de l’écouter: elle m’a interdit tout repos, tout sommeil. La seule chose qu’il m’était possible de faire pour la calmer: marcher… de jour comme de nuit… sans aucun répit… pendant une semaine entière (malgré les antidouleurs prescrits)…

M’asseoir plus d’une demi-heure m’était impossible, m’allonger infernal…

Au bout du 6ème jour, je me suis retrouvée, en pleine nuit, à 4 pattes, à pleurer toutes les larmes de mon corps… toutes ces larmes que je n’avais jamais pleurées et qui s’étaient figées, cristallisées dans le bas de mon dos.

Trop, c’est trop…

L’expression « en avoir plein le dos » a alors pris toute sa signification : tout ce qui ne s’exprime pas finit, tôt ou tard, par s’imprimer dans le corps, et tout ce que je n’avais pas exprimé – depuis ma plus petite enfance – avait choisi de se loger, en majeure part, dans mes lombaires…

De très puissants antidouleurs ont finalement remplacé les premiers qui ne faisaient aucun effet, et leur prise en très fortes doses a fini par me soulager. Mais cette souffrance a déclenché ma réflexion, mon besoin de comprendre la racine de cette douleur aiguë et incisive.

Et une pensée en entraînant une autre, la composante transgénérationnelle de cette douleur m’est également devenue évidente: ma mère souffre du bas du corps depuis fort longtemps, mon père ne quitte quasiment plus sa ceinture lombaire (des hernies discales le faisant souffrir avec une régularité stupéfiante), mes 2 grand-mères (maternelle ET paternelle) ont vécu leurs dernières années de vie paralysées - leurs jambes s’étant raidies, rigidifiées, au point de ne plus pouvoir les porter.

Alors quoi?

Serais-je venue dans ce monde pour porter ce fardeau en héritage?

Mais il en est HORS DE QUESTION!

Je REFUSE d’être la 3ème génération à subir un pareil carcan!

Et catégoriquement!

Alors, en plus de mon suivi médical par un médecin généraliste et un kinésithérapeute, j’ai donné sa chance au livre de Natacha CALESTREME : « La clé de votre énergie : 22 protocoles pour vous libérer émotionnellement » – livre qui avait déjà croisé ma route, mais dont je n’avais jusqu’alors pas perçu l’urgente utilité.

Si je vous confie tout cela, ce n’est ni pour vous attendrir, ni pour que vous me plaigniez.

Juste pour vous témoigner que ce dicton « ce qui ne s’exprime pas s’imprime » n’est pas un simple trait d’esprit, une jolie phrase jouant sur les mots et leur signification: c’est un FAIT !

Et ce qui s’imprime dans le corps finit, tôt ou tard, par s’exprimer par le biais de la douleur… Douleur que je ne souhaite à personne.

Ne laissez pas que des non-dits, des douleurs refoulées (de quelle que nature qu’elles soient), que des larmes ravalées (les vôtres et celles des générations avant vous) vous prennent en otage et vous interdisent d’exprimer pleinement le potentiel que vous êtes venus incarner ici-bas!

Ne permettez pas cela!

C’est tout ce que je vous souhaite!

Alors exprimez-vous!

Mettez des mots sur les maux !

Et osez refuser les héritages destructeurs et mortifères,

En vérité,

Avec bienveillance envers vous-mêmes et envers les autres,

Mais avec fermeté,

Et dans la pleine conscience de l’être merveilleux et indispensable que vous êtes dans et pour ce monde!

Prenez bien soin de vous,

F.